La Venise du Nord.
Voici de nouveau une très belle ville flamande que nous avons de nouveau visité, et qui mérite largement de s’y attarder.
L’hiver, au clair de lune, c’est « Bruges la Morte » que célèbre Georges RODENBACH. Paraissant sortir du moyen âge, avec ses vieilles demeures aux briques patinées par les siècles, ses nobles édifices, ses églises au clair carillon, serrés sur les bords de l’eau noire des canaux où évoluent les cygnes.
Suivez moi, pas à pas, pour la vivre,
Les éboueurs des canaux.
Le Beffroi – Belfort.
La Grand Place – Markt.
Le « béguinage de la vigne » – Begijnhof.
Un agréable moment de détente, dans cette ville ou le chocolat est roi.
Les cygnes de Bruges.
Les cygnes qui évoluent dans ces eaux tranquilles évoquent une vieille légende: en 1448, les Brugeois emprisonnèrent Maximilien d’ Autriche pendant quelques semaines dans la maison Craenenburg sur la Grand-Place et décapitèrent son conseiller, Pierre Lanchais. Comme les armes de ce dernier comprenaient un cygne, Maximilien, une fois libéré, ordonna aux Brugeois afin qu’ils expirent leur crime, d’entretenir à perpétuité des cygnes sur les canaux de la ville.
A bientôt BRUGES.